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Danger du troisième rail

Citation de Raphaël le 17 décembre 2024, 7 h 43 minC'était une sacré précision pour que ça passe dans un endroit aussi petit avec les irrégularités de la voie.
C'était une sacré précision pour que ça passe dans un endroit aussi petit avec les irrégularités de la voie.

Citation de Jean-Philippe le 17 décembre 2024, 10 h 35 minCela te paraît petit vu de loin Raphaël, mais si tu regardes bien la photo publiée par Yves D., les planches sont bien surélevées.
Au premier plan, sur la deuxième voie, on aperçoit les traverses entre ces planches et le rail de contact.
Cela te paraît petit vu de loin Raphaël, mais si tu regardes bien la photo publiée par Yves D., les planches sont bien surélevées.
Au premier plan, sur la deuxième voie, on aperçoit les traverses entre ces planches et le rail de contact.

Citation de Raphaël le 17 décembre 2024, 11 h 43 minJe n'avais pas fait attention, effectivement en bas à droite on aperçois réellement l'écartement entre les deux qui est plus important que ce que pensais.
Je n'avais pas fait attention, effectivement en bas à droite on aperçois réellement l'écartement entre les deux qui est plus important que ce que pensais.
Citation de JMD16140 le 17 décembre 2024, 11 h 56 minSur la photo de la 6500, on voit que les frotteurs sont montés sur des "pistons" et agissent en compression sur le rail.
Sur la photo de la 6500, on voit que les frotteurs sont montés sur des "pistons" et agissent en compression sur le rail.

Citation de Jean-Philippe le 17 décembre 2024, 15 h 07 minOui, c'est là qu'on comprend que c'est à captage par le dessus.
Par contre, même avec les planches, c'était une sacrée contrainte cette tension en 3e rail !
Oui, c'est là qu'on comprend que c'est à captage par le dessus.
Par contre, même avec les planches, c'était une sacrée contrainte cette tension en 3e rail !

Citation de Bruno Gollion le 22 décembre 2024, 17 h 25 minCitation de Jean-Philippe le 14 décembre 2024, 22 h 18 minQuelques photos du dernier jour du 3e rail sur PSL et précisément entre Puteaux et Issy-Plaine.
Sur la première, la Z5177 assure un des derniers trains en direction de Puteaux et démarre ici de la gare de Suresnes-Longchamp. On voit le "rouquin" entre les deux voies, les frotteurs claquaient parfois, et le bruit résonnait dans le rail, c'était très caractéristique.
Sur la seconde, la Z est entrée dans le tunnel du même nom que la gare. J'ai participé au démontage du 3e rail à cet endroit, et avec un collègue, alors qu'on était au milieu de la voie avec nos tirefonneuses, un train de travaux tiré par un Y 7400 arrivait assez vite, en marche en manoeuvre toutefois, mais pour lui il n'y avait personne, il n'avait pas été avisé. Il nous était arrivé dessus rapidement, heureusement, ce collègue était un ancien, il était en tête, et il avait placé une lanterne avec un feu rouge en direction de l'avant, d'où arrivait ce TTX.
On n'avait pas attendu au pied de nos machines en entendant le loco qui tractionnait pleine bille (il y avait du tonnage avec les vieux rails de contact sur les wagons), on s'était précipité dans les niches de l'autre voie assez loin, parce que si ce train avait percuté les tirefonneuses, cela aurait volé, surtout dans un tunnel... Il avait dû s'arrêter juste à l'entrée du tunnel.
Le CRLO avait freiné d'urgence en voyant le feu rouge de la lanterne, et après l'arrêt, il était effondré, il avait eu sacrément peur, surtout que c'était un gars bien. Il avait salué la précaution de mon collègue, mais les anciens étaient prudents, surtout quand il y avait des jeunes.
Les chantiers de démontage, c'est toujours dangereux. Dans les temps plus anciens où il n'y avait pas de moyens hydrauliques de manutention, il n'était pas rare qu'au moins un type se fasse tuer par un rail en chargement sur un wagon. Cela pouvait aussi arriver avec une pelle hydraulique. Le rouquin n'était plus sous-tension, mais il était dangereux d'une autre manière jusqu'à la fin !
Dernière photo, toujours la Z 5177, vue à Issy-Plaine, quelques minutes avant le dernier départ. Dans l'heure qui a suivi, c'en était fini du rail de contact sur la région de Paris-St-Lazare.
Il y avait toute une bande d'amateurs bien sympas, on était en cabine arrière, et ça sifflait tellement, que le mécanicien avait envoyé un collègue qui l'accompagnait pour dire de réduire l'activité, car le compresseur avait du mal à fournir, donc on aurait eu un freinage par manque d'air dans la CG !
Ces vieilles Z 5100 étaient entretenues à St-Lazare-Levallois, leur dépôt, et bien sûr comme elles ne pouvaient venir seules vu qu'il n'y avait plus ce type d'alimentation depuis leur dépôt jusqu'à la bifurcation de Puteaux, elles étaient acheminées par un BB 63000. On les voyait passer parfois, au moment le plus creux de la journée, enfin du moins pas pendant les pointes, parce que les creux, on ne peut pas dire qu'il y en avait vraiment !
Cette ligne, située entre Puteaux et Issy a un petit nom : la Côte d'Azur sur Seine.
Et il en existe une vidéo : La ligne de la Côte d'Azur sur Seine
Citation de Jean-Philippe le 14 décembre 2024, 22 h 18 minQuelques photos du dernier jour du 3e rail sur PSL et précisément entre Puteaux et Issy-Plaine.
Sur la première, la Z5177 assure un des derniers trains en direction de Puteaux et démarre ici de la gare de Suresnes-Longchamp. On voit le "rouquin" entre les deux voies, les frotteurs claquaient parfois, et le bruit résonnait dans le rail, c'était très caractéristique.
Sur la seconde, la Z est entrée dans le tunnel du même nom que la gare. J'ai participé au démontage du 3e rail à cet endroit, et avec un collègue, alors qu'on était au milieu de la voie avec nos tirefonneuses, un train de travaux tiré par un Y 7400 arrivait assez vite, en marche en manoeuvre toutefois, mais pour lui il n'y avait personne, il n'avait pas été avisé. Il nous était arrivé dessus rapidement, heureusement, ce collègue était un ancien, il était en tête, et il avait placé une lanterne avec un feu rouge en direction de l'avant, d'où arrivait ce TTX.
On n'avait pas attendu au pied de nos machines en entendant le loco qui tractionnait pleine bille (il y avait du tonnage avec les vieux rails de contact sur les wagons), on s'était précipité dans les niches de l'autre voie assez loin, parce que si ce train avait percuté les tirefonneuses, cela aurait volé, surtout dans un tunnel... Il avait dû s'arrêter juste à l'entrée du tunnel.
Le CRLO avait freiné d'urgence en voyant le feu rouge de la lanterne, et après l'arrêt, il était effondré, il avait eu sacrément peur, surtout que c'était un gars bien. Il avait salué la précaution de mon collègue, mais les anciens étaient prudents, surtout quand il y avait des jeunes.
Les chantiers de démontage, c'est toujours dangereux. Dans les temps plus anciens où il n'y avait pas de moyens hydrauliques de manutention, il n'était pas rare qu'au moins un type se fasse tuer par un rail en chargement sur un wagon. Cela pouvait aussi arriver avec une pelle hydraulique. Le rouquin n'était plus sous-tension, mais il était dangereux d'une autre manière jusqu'à la fin !
Dernière photo, toujours la Z 5177, vue à Issy-Plaine, quelques minutes avant le dernier départ. Dans l'heure qui a suivi, c'en était fini du rail de contact sur la région de Paris-St-Lazare.
Il y avait toute une bande d'amateurs bien sympas, on était en cabine arrière, et ça sifflait tellement, que le mécanicien avait envoyé un collègue qui l'accompagnait pour dire de réduire l'activité, car le compresseur avait du mal à fournir, donc on aurait eu un freinage par manque d'air dans la CG !
Ces vieilles Z 5100 étaient entretenues à St-Lazare-Levallois, leur dépôt, et bien sûr comme elles ne pouvaient venir seules vu qu'il n'y avait plus ce type d'alimentation depuis leur dépôt jusqu'à la bifurcation de Puteaux, elles étaient acheminées par un BB 63000. On les voyait passer parfois, au moment le plus creux de la journée, enfin du moins pas pendant les pointes, parce que les creux, on ne peut pas dire qu'il y en avait vraiment !
Cette ligne, située entre Puteaux et Issy a un petit nom : la Côte d'Azur sur Seine.
Et il en existe une vidéo : La ligne de la Côte d'Azur sur Seine

Citation de Jean-Philippe le 22 décembre 2024, 17 h 33 minTu as bien fait de mettre ce lien Bruno, je connaissais cette vidéo, mais je l'avais complètement oubliée !
Tu as bien fait de mettre ce lien Bruno, je connaissais cette vidéo, mais je l'avais complètement oubliée !

Citation de Jean-Philippe le 23 décembre 2024, 8 h 09 minJ'ai vu dans les commentaires de l'autre version (le gars a dû améliorer le film, et il y est deux fois sur sa chaîne, celui-ci le mentionne), un intervenant qui demande ce que sont les voies de service entre Pont-de-Sèvres et Pont-de-Saint-Cloud.
C'était un chantier marchandises, je ne sais pas de quel gare il dépendait, il me semble y avoir vu des trains avec des wagons porte-autos, mais ça commence à dater, et j'ai dû y passer une fois, alors je ne suis plus certain. Y aurait-il eu du chargement de voitures ? Il y avait un portique, est-ce qu'il y avait un chantier de conteneurs ?
A la date du film, c'était fini, mais depuis peu, car je n'ai emprunté cette ligne pour la première fois que quelques semaines avant la fermeture lorsque j'y ai encore vu des trains.
J'ai vu dans les commentaires de l'autre version (le gars a dû améliorer le film, et il y est deux fois sur sa chaîne, celui-ci le mentionne), un intervenant qui demande ce que sont les voies de service entre Pont-de-Sèvres et Pont-de-Saint-Cloud.
C'était un chantier marchandises, je ne sais pas de quel gare il dépendait, il me semble y avoir vu des trains avec des wagons porte-autos, mais ça commence à dater, et j'ai dû y passer une fois, alors je ne suis plus certain. Y aurait-il eu du chargement de voitures ? Il y avait un portique, est-ce qu'il y avait un chantier de conteneurs ?
A la date du film, c'était fini, mais depuis peu, car je n'ai emprunté cette ligne pour la première fois que quelques semaines avant la fermeture lorsque j'y ai encore vu des trains.
Citation de Jean-Pierre Vlerick le 23 décembre 2024, 19 h 11 minIl semblerait qu'il ait existé un établissement "Sèvres- Saint Cloud (Marchandises)" sur cette ligne. Il s'agit peut être de celle là. Je suppose qu'il était justifié par la proximité des usines Renault à Billancourt.
Entre ses autres charmes, cette ligne était un musée vivant: elle est une des toutes dernières à avoir conservé la Cantonnement Regnault Ouest-Etat avec carrés + plaque ATTon. J'ai un vague souvenir d'avoir découvert avec stupéfaction cette particularité en 1965 ce qui est plausible car selon le "Gernigon", la substitution par le BAL date de 1969.
Il semblerait qu'il ait existé un établissement "Sèvres- Saint Cloud (Marchandises)" sur cette ligne. Il s'agit peut être de celle là. Je suppose qu'il était justifié par la proximité des usines Renault à Billancourt.
Entre ses autres charmes, cette ligne était un musée vivant: elle est une des toutes dernières à avoir conservé la Cantonnement Regnault Ouest-Etat avec carrés + plaque ATTon. J'ai un vague souvenir d'avoir découvert avec stupéfaction cette particularité en 1965 ce qui est plausible car selon le "Gernigon", la substitution par le BAL date de 1969.
Citation de JMD16140 le 23 décembre 2024, 22 h 12 minTout à fait Jean-Pierre, il y avait bien un établissement marchandises à Sèvres qui desservait la RNUR, un bougnat et un distributeur de boissons. La RNUR recevait principalement des bobines de tôle , au départ principalement de la ferraille. A la fin des années 70, un trafic de pièces autos vers l'Espagne (Valladolid et Palencia) a vu le jour et a perduré jusqu'à la fermeture de l'usine. Pour les expéditions d'autos neuves, je n'ai pas de souvenirs. Par contre, il y avait une navette par barges entre l'usine de Billancourt et le port du Havre ou Rouen. A Flins, Elle déchargeait des voitures pour une partie de la France et en rechargeait d'autres pour la Normandie ou l'export. J'avais appris cela pendant mon année aux Mureaux.
Tout à fait Jean-Pierre, il y avait bien un établissement marchandises à Sèvres qui desservait la RNUR, un bougnat et un distributeur de boissons. La RNUR recevait principalement des bobines de tôle , au départ principalement de la ferraille. A la fin des années 70, un trafic de pièces autos vers l'Espagne (Valladolid et Palencia) a vu le jour et a perduré jusqu'à la fermeture de l'usine. Pour les expéditions d'autos neuves, je n'ai pas de souvenirs. Par contre, il y avait une navette par barges entre l'usine de Billancourt et le port du Havre ou Rouen. A Flins, Elle déchargeait des voitures pour une partie de la France et en rechargeait d'autres pour la Normandie ou l'export. J'avais appris cela pendant mon année aux Mureaux.
Citation de Jean-Pierre Vlerick le 24 décembre 2024, 10 h 58 minJe n'ai parcouru cette ligne que deux fois. La première fois en 1965. Comme je pense l'avoir écrit ailleurs, mon père était en poste à Paris dans les années 60 et j'allais le rejoindre pendant les congés scolaires. En 1965, on me jugeait suffisamment mature pour me donner quartier libre avec 50 Nouveaux Francs et un carnet de tickets de métro en poche. Je ne m'éloignais pas trop et bien que proche , cette ligne était difficile à visiter car l'offre était squelettique (voir la page du Chaix hiver 66/67 annexée): il n'y avait aucun train entre 8 et 17 heures., sauf un AR de mi journée le samedi. C'est cette fois que j'ai vu les carrés avec plaque ATTon du cantonnement Regnault. (Selon Daniel Wurmser, le modèle "à guillotine" subsistait alors au Pont de Sèvre). Autre des nombreuses particularités de cette ligne: selon le Chaix, 2 ème classe uniquement, alors que les Z 1300/1400/1500 qui la desservaient avaient bien un compartiment de 1ère.
Ma deuxième visite remonte à la fin des années 80, après l'arrivée des Z 5100.
Je n'ai parcouru cette ligne que deux fois. La première fois en 1965. Comme je pense l'avoir écrit ailleurs, mon père était en poste à Paris dans les années 60 et j'allais le rejoindre pendant les congés scolaires. En 1965, on me jugeait suffisamment mature pour me donner quartier libre avec 50 Nouveaux Francs et un carnet de tickets de métro en poche. Je ne m'éloignais pas trop et bien que proche , cette ligne était difficile à visiter car l'offre était squelettique (voir la page du Chaix hiver 66/67 annexée): il n'y avait aucun train entre 8 et 17 heures., sauf un AR de mi journée le samedi. C'est cette fois que j'ai vu les carrés avec plaque ATTon du cantonnement Regnault. (Selon Daniel Wurmser, le modèle "à guillotine" subsistait alors au Pont de Sèvre). Autre des nombreuses particularités de cette ligne: selon le Chaix, 2 ème classe uniquement, alors que les Z 1300/1400/1500 qui la desservaient avaient bien un compartiment de 1ère.
Ma deuxième visite remonte à la fin des années 80, après l'arrivée des Z 5100.
Fichiers téléversés :

Citation de Jean-Philippe le 24 décembre 2024, 12 h 01 minCitation de JMD16140 le 23 décembre 2024, 22 h 12 minTout à fait Jean-Pierre, il y avait bien un établissement marchandises à Sèvres qui desservait la RNUR, un bougnat et un distributeur de boissons. La RNUR recevait principalement des bobines de tôle , au départ principalement de la ferraille.
Je comprends pourquoi il y avait ce portique, c'était pour décharger les bobines.
Pour les voitures, le souvenir est trop lointain. J'ai en tête la vision de porte-autos avec un 66000 en tête, mais comme je ne l'ai constaté qu'une fois, difficile d'être précis. Dans mon esprit, ils étaient vides, mais ça pouvait être en attente de chargement.
Citation de JMD16140 le 23 décembre 2024, 22 h 12 minTout à fait Jean-Pierre, il y avait bien un établissement marchandises à Sèvres qui desservait la RNUR, un bougnat et un distributeur de boissons. La RNUR recevait principalement des bobines de tôle , au départ principalement de la ferraille.
Je comprends pourquoi il y avait ce portique, c'était pour décharger les bobines.
Pour les voitures, le souvenir est trop lointain. J'ai en tête la vision de porte-autos avec un 66000 en tête, mais comme je ne l'ai constaté qu'une fois, difficile d'être précis. Dans mon esprit, ils étaient vides, mais ça pouvait être en attente de chargement.

Citation de Yves Dessaux le 24 décembre 2024, 12 h 06 minAutre des nombreuses particularités de cette ligne: selon le Chaix, 2 ème classe uniquement, alors que les Z 1300/1400/1500 qui la desservaient avaient bien un compartiment de 1ère.
De mémoire défaillante, et bien qu'ayant emprunté cette ligne plusieurs fois, il me semble que les Z1400 de cette ligne avaient été modifiées et ne comportaient plus de 1ere classe... A vérifier !
Autre des nombreuses particularités de cette ligne: selon le Chaix, 2 ème classe uniquement, alors que les Z 1300/1400/1500 qui la desservaient avaient bien un compartiment de 1ère.
De mémoire défaillante, et bien qu'ayant emprunté cette ligne plusieurs fois, il me semble que les Z1400 de cette ligne avaient été modifiées et ne comportaient plus de 1ere classe... A vérifier !
Citation de JMD16140 le 24 décembre 2024, 16 h 51 minPour les voitures, pas mieux. Par contre, à partir de 1988 où l'on a commencé à récupérer le trafic auto à Achères, je n'ai jamais vu de porte-autos chargés en provenance de cette gare.
Cette pratique de la classe unique était quelquefois pratiquée sur certaines lignes ou trains omnibus. En pareil cas, le compartiment de 1ère était déclassé et on devait coller sur les fenêtres des étiquettes "2ème classe".
Pour les voitures, pas mieux. Par contre, à partir de 1988 où l'on a commencé à récupérer le trafic auto à Achères, je n'ai jamais vu de porte-autos chargés en provenance de cette gare.
Cette pratique de la classe unique était quelquefois pratiquée sur certaines lignes ou trains omnibus. En pareil cas, le compartiment de 1ère était déclassé et on devait coller sur les fenêtres des étiquettes "2ème classe".

Citation de Yves Dessaux le 24 décembre 2024, 17 h 18 minCette pratique de la classe unique était quelquefois pratiquée sur certaines lignes ou trains omnibus. En pareil cas, le compartiment de 1ère était déclassé et on devait coller sur les fenêtres des étiquettes "2ème classe".
Oui, pour les Z1400 d'Issy, la peinture jaune caractéristique de la 1ere classe de ces rames avait été retirée, me semble-t-il, mais je ne me souviens plus de la couleur des sièges. Ils étaient verts en seconde et rouge en première sur les rames standards de PSL !
Cette pratique de la classe unique était quelquefois pratiquée sur certaines lignes ou trains omnibus. En pareil cas, le compartiment de 1ère était déclassé et on devait coller sur les fenêtres des étiquettes "2ème classe".
Oui, pour les Z1400 d'Issy, la peinture jaune caractéristique de la 1ere classe de ces rames avait été retirée, me semble-t-il, mais je ne me souviens plus de la couleur des sièges. Ils étaient verts en seconde et rouge en première sur les rames standards de PSL !
Citation de Jean-Pierre Vlerick le 25 décembre 2024, 15 h 04 minJe n'ai aucun souvenir précis du matériel lors de mon voyage de 1965. A postériori, j'ai appris que des Z 1200 (" 2ème série") pouvaient encore circuler sur cette ligne à ce moment.
Je n'ai aucun souvenir précis du matériel lors de mon voyage de 1965. A postériori, j'ai appris que des Z 1200 (" 2ème série") pouvaient encore circuler sur cette ligne à ce moment.