6 réponses sur “Cheminots, la bataille du froid 3. L’extrême.”

    1. Bonjour,
      Oui, c’est tout à fait ça. En fait ce n’est pas véritablement la neige qui nous a arrêté car nous avons les moyens de la dégager, même si par un concours de circonstances le CNS était en réparation, seulement la neige lourde a couché tous les arbres qui ne sont plus coupés le long des voies.
      Peu de temps après il y a eu la fonte de la neige et nous avons subi les affres des inondations sur la voie à cause des caniveaux qui n’avaient pas été curés…

  1. Bonjour Franck, et bonjour à tous.
    Un bref passage pour vous dire que, si je n’interviens pas, ma dernière étude me prend tout mon temps, je me tiens tout de même informé.
    « Nos décideurs » dis-tu en introduction…
    Ben oui, ils font ce qu’ils veulent. Ne vient-on pas de reconduire Emmanuel le Magnifique pour cinq années supplémentaires ?
    N’est-ce pas lui qui avait dézingué les Intercités avec les « bus Macron » ?
    N’est-ce pas lui qui se pose en VRP de l’UE au détriment de la souveraineté de la France, dont par ailleurs il n’a rien à foutre, laquelle UE a ordonné l’ouverture du rail à la concurrence. On a vu le résultat avec le fret, et c’est plus que probablement ce qui arrivera au trafic des voyageurs !
    Il me vient deux citations à l’esprit :
    D’Alexis de Tocqueville :
    « Les tyrans ne sont grands que parce que nous sommes à genoux. »
    De Maurice Druon :
    « C’est toujours sur une démission collective que les tyrans fondent leur puissance. »
    Bonne continuation à tous.
    Didier.

    1. Bonjour Didier,
      Dernièrement j’écoutais Olivier Delamarche d’une oreille distraite, vu que tout cela me dégoutte, et il a très bien résumé en une phrase :  » ils n’aiment pas leur pays « . Et encore,  » leur pays  » c’est peut être fort,  » la France  » ça aurait suffit.
      Merci à toi et courage pour ton étude.
      Franck.

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