Voyage à Bessèges

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Merci à Patrick, alias PLGDA , YouTube : videostrains PLGDA, pour avoir conservé et nous avoir transmis ce document qui ferra oeuvre de témoignage de la destruction du Chemin de Fer français voulu par une caste capitaliste.

Franck

Texte : France 3 Occitanie

Un réalisateur fuisse apprend que la voie ferrée qu’il empruntait avec ses parents pour se rendre dans les Cévennes, a été abandonnée. Il décide de refaire le voyage, comme avant, en train, ou à pied. Un rail-movie et une enquête rondement menée sur l’état du réseau ferroviaire français.

Manuel Lobmaier, réalisateur suisse, apprend que la ligne ferroviaire qu’il empruntait enfant, pour rejoindre sa maison de vacances dans les Cévennes, a été fermée.

Il fait le pari de refaire le même voyage en empruntant uniquement les lignes de train autres que les lignes de TGV. Il part de son village natal, en Suisse et emprunte avec une facilité déconcertante une ribambelle de trains. Pas d’attente dans les gares, des correspondances à l’heure, des trains toutes les 1/2 heures. Un jeu d’enfant.

À peine passe-t-il la frontière française que son voyage se transforme en parcours du combattant : voies en travaux, trains annulés, gares fermées, prix des billets exorbitants.

Quand enfant il mettait 15h et 31 minutes pour rallier Bessèges, il lui faudra aujourd’hui 11 jours et une certaine dose d’acharnement pour arriver au terminus qu’il s’est fixé dans le Gard.

Avec lui nous découvrons non seulement la scandaleuse histoire du démantèlement ferroviaire français, politique à contre-courant des ambitions écologiques actuelles, mais aussi et surtout des paysages à couper le souffle au rythme lent et rassurant des trains de notre enfance.

Manuel Lobmaier, auteur et réalisateur du film

Chaque été, avec mes parents, mon frère et ma soeur, nous prenions le train de Suisse, pour arriver à Bessèges, la petite ville cévenole où j’ai passé le temps le plus heureux de mon enfance. Depuis, cette ligne a été fermée. Elle traversait des paysages que j’aimais tant, je me rappelle encore des odeurs de moleskine mélangée aux odeurs de la forêt…

Motivé par mon histoire familiale, animé par la curisosité et le besoin de comprendre, j’ai décidé de rejoindre uniquement par voie ferrée, les Cévennes, comme avant, et de voir les changements…

Pour le Suisse que je suis, né au fond de la Vallée de Conches et habitué à la régularité des trains helvétiques, aux géraniums rouges flamboyants de la gare de mon village, il était absolument déroutant de passer la frontière et de constater le délabrement général du réseau français.

Il est temps de rechercher un sens à cette aventure ferroviaire, comprendre avec obstination ce démantèlement. Se rapprocher des valeurs transmises par mes parents, par leur conscience écologique. Le train était pour eux le symbole d’un monde meilleur, un moyen de transport économique, collectif et écologique.

J’ai la pensée secrète que dans les failles d’un système incohérent peut renaître un monde nouveau.

Voyage à Bessèges « Des rails à la française »
Un film de Manuel Lobmaier – Une coproduction Tripode Productions – PCT cinéma télévision –  France Télévisions, Avec la participation de Public Sénat et de la  RTS Radio Télévision Suisse

23 réponses sur “Voyage à Bessèges”

      1. Bonjour

        Ce film n’eqt pas très dur mais très lucide, ouvrez les yeux
        Oui, la france n’est pas la Suisse , pays dans lequel on circule bien en train, car la confédération Helvétique assure un service PUBLIC avant de viser à faire du profit
        Nos gouvernants sont complices de la dégradation du transport ferroviaire, service public confié au privé, au grand dam des voyageurs, certains départements et même régions : Ardèche, Vaucluse et la Bretagne intérieure, et j’en passe, sont sinistrés sur ce plan, ce qui oblige à utiliser une voiture alors que beaucoup de villes s’affairent à plus ou moins long terme, à interdire les voitures en ville.
        Je suis scandalisé par l’état de nos chemins de fer, tant par la qualité du service que la complexité des horaires sans correspondance entre les trains, vive le TGV qui vous largue en pleine campagne comme à Nîmes et autres lieux
        Il y a tant à dire sur l’hypocrisie appliquée à notre circulation ferroviaire

      2. Parfois les oeuvres cinématographiques, écrites ou photographiques vont volontairement exagérer une situation pour bien en faire ressortir l’importance. C’est une pratique artistique, tout comme dans ma série sur  » voyage au cœur d’un volcan  » ou  » Cheminots, la bataille du froid « .
        On se sert de ça parce qu’il est très difficile de faire ressentir un sentiment à travers un ou deux sens maximum. Ici la vue et l’ouïe.
        Certaines personnes, plus sensibles ou plus éveillées, peuvent alors trouver la scène exagéré, mais c’est l’essence même du message qu’il faut surtout chercher à comprendre.
        Il ne faut pas se borner à des faits mais prendre du recul pour essayer de comprendre le message que l’auteur veut faire passer.
        Et en l’occurrence, c’est que la France est sous un dicta financier nuisible au chemin de fer et par de là, à son peuple.

      3. Effectivement, la France et la Suisse n’ont rien à voir.
        En Suisse, il y a de plus en plus de trains, en France de moins en moins.
        Et le pire chez nous, c’est que des lignes sont fermées car non rentables d’après les décideurs, ces mêmes décideurs qui ont souvent tout fait pour que la rentabilité ne soit pas au rendez-vous.
        L’exemple le plus fréquent pour fermer une ligne non rentable est d’engager des travaux d’entretien ou de remise à niveau, puis de modifier les horaires pour les rendre MOINS attractifs et d’attendre que les trains ne soient plus utilisés pour prétendre à la fermeture.
        C’est une honte car le transport en train des voyageurs est une mission de service public.
        Le pire, en plus, est que la consultation des horaires pour réserver un billet passe par le tout TGV et ignore les TER et TET.
        Bonne journée quand même.

  1. C’est un triste constat mais j’aime ce film.
    Il met en évidence le désinvestissement des lignes dites secondaires au nom d’un rentabilité financière et au détriment du service publique. L’hypocrisie de nos politiques et aussi celle des Dirigeants de la SNCF est clairement démontrées.
    Je plains les cheminots qui ont aimé et aime leurs trains. Je plains les habitants de ces régions sacrifiées.

    En plus concernant les aspects financiers, j’ai peur que le point de non retour soit atteint et même dépassé. En clair il y a fort à parier que cela coutera plus cher de remettre une ligne secondaire en état que de l’avoir entretenue. Il y a un bon exemple avec la ligne Pau – Canfranc. A la base suite à l’accident du pont de l’Estanguet il y avait un pont à refaire. Maintenant il faut refaire en totalité la ligne (Dégagement et réfection de la plateforme, pose d’un nouvelle voie, réfection des passages à niveau, remise en état des ouvrages d’art, réfection des gares, etc ….). Pour couronner le tout la route est encombrée par les voitures et les camions lors qu’auparavant les marchandises étaient convoyées par ….. la SNCF.

  2. Merci pour nous avoir permis de voir ou de revoir ce documentaire et ce regard Suisse sur l ‘état du rail Français .
    Maintenant que nous sommes d’accord sur le constat , sous investissement chronique pour le rail , recherche d’une rentabilité comptable sur des critères flous , abandon programmé , système de réservation inadapté , travaux  » massifié » trainant en longueur et souvent mal réalisés et mal contrôlé ,ce qui pourrait faire craindre un sabotage des lignes de la part de la direction de la SNCF ( comme le passage au routier du tunnel de sainte Marie aux mines) intérêt d’un horaire cadencé , on fait quoi? on vote NUPES ?

    1. Voilà une bonne remarque. C’est vrai qu’on râle souvent, mais que faire.
      Ça va être difficile de parler d’avenir sans parler politique et malheureusement les discours politique sont souvent objet à débats et échauffourées puisque chacun avance ses idées en fonction de son vécu.
      Pour éviter cela il faut rester objectif et reconnaître les évidences.
      Est-ce que la solution pourrait venir de choix politiques?
      Évidement ce ne sont que les seuls décideurs élus qui peuvent prendre les bonnes décisions, soit poussé par une volonté massive du peuple, soit parce qu’ils seraient touché par la grâce.
      Le train c’est développé en France dans le but, il faut bien le reconnaître, de faire de l’argent. Les compagnies voyaient en ce moyen de transport moderne une formidable manne financière.
      Aujourd’hui tout est différent car la route leur rapporte plus et au vu de la décadence productive de nos entreprises, les raccordements direct au réseau n’étaient plus leur priorité.
      Nous avons doucement glissé d’une manne financière à un besoins vitale publique.
      Tant que les élus, quelque soit leur bord, n’accepteront pas le fait que le train et un service qui doit être DONNÉ au peuple rien ne changera.
      En fait c’est juste une question d’idéologie de vie commune. Il suffit de regarder autour de nous. Il n’y a pas qu’en Suisse qu’il y a cette volonté. Regardé le service offert au Danemark ou en Suède, qui sont pourtant bien moins nombreux que nous en terme d’habitant. Visiblement la production /dépense fonctionne très bien et je ne crois objectivement pas que cela vienne de la productivité des agents. À la SNCF la réglementation permet un service sécuritaire dans la gestion des circulations. On ne peut pas résoudre les problèmes en demandant à des agents d’un service de sécurité de travailler plus de huit heures d’affilé ou d’avoir des repos inférieur à 8h, sauf à vouloir maintenir une production qui engendre les dividendes suffisantes pour une partie d’actionnaires qui épuisent le système.
      Ce qu’il faut c’est un gouvernement qui décide de placer le ferroviaire, cette formidable invention, au service du publique, moyennant un calcul des dépenses utiles,
      Clef de Berne, qui est abonné ici depuis peu, pour ceux qui le connaisse et qui fait d’excellents reportages sur YouTube, a fait une vidéo d’avant élection où il a repris tous les programmes des partis présent au élection.

      https://youtu.be/9FXZaYof39Q

      Le constat est éloquent . Il n’y a aucun parti qui propose un retour au fret, ou un investissement important dans le transport de voyageurs. Seul Melanchon propose de revenir en arrière mais ce n’est qu’un copier coller de ce qui existait, une sorte d’utopie.

      Objectivement , les parties dit « écologiques » ne vendent que de la poudre au yeux. En tant que défenseur de la nature (mais ça c’est une autre histoire https://youtube.com/channel/UCSM7pmdoEdcTsfhAuYTmLwQ ) je constate que les mesures qui peuvent prises ne sont que financière, encore une fois et toujours de la responsabilité des personnes. Jamais un gouvernement n’a dit : «  stop, on interdit les emballages multiples, les coupes à blanc de bois, le transport routier international, le gaspillage alimentaire, etc. » Non. On va obliger les gens à payer pour une révision annuelle de la fosse septique alors que dans le même temps on répand du lisier dans les champs. Comme si la merde était un poison. Bref, ce n’est pas le débat, mais le train n’a pas à prouver son efficacité en terme de pollution vis à vis du tonnage transporté et aucun partie ne prône sont développement comme priorité absolu.
      Il faut changer notre mode vie. Certes le train est moins rapide. Et alors ? On peut bien attendre deux jours de plus avant de recevoir notre colis commandé sur internet, non ?
      Non, vraiment il n’y a pas de raisons valables pour dénigrer cette invention qui n’a, pour l’instant, aucun équivalent.
      C’est juste le lobbys financier qui bloque tout.
      J’entends qu’électrifier une ligne coûte trop cher et que l’hydrogène c’est mieux. Quelle aberration. On parle d’investissement. On se moque du prix. Combien a couté le JWST pour seulement connaître l’origine de l’univers ? Pourtant on ne parle pas ici de dépenses incongrues ?

      Je pense que les choses pourront changer quand un maximum de personnes auront compri et accepter l’évidence. Quand les gens arrêteront de critiquer sans savoir en demandant de la privatisation à tout va comme une solution miracle.
      C’est le travail de chacun de nous d’expliquer, de montrer, ce qui est, ce qui a été et ce qui pourrait être. Faire changer les mentalités pour qu’un jour des personnes censées élise une personne censée qui optera pour le bien-être de son pays et de son peuple.
      En tout cas, c’est ce que chaque compagnon s’évertue de faire, à son niveau.

  3. Je vais enfoncer un peu le clou. 🙂
    Pour reprendre les propos de Jean-Christophe, j’ai quelques collègues qui ont mal pris le reportage. Un peu comme une attaque de leur outil de travail et j’ai même entendu des remarques du fait que ça venait d’un Suisse. Je ne pense qu’ils contestaient l’évidence mais ça fait mal au cœur quand on a aimé  » son  » train.

    Pourtant le constat est accablant. En Auvergne Rhône Alpes il y a 1500 trains qui circulent chaque jour …. mais aussi 600 cars TER !

    Plusieurs ligne ont été fermé dans le seul département du Puy de dôme en 10 ans.

    Certaines relations sont doublées en bus. ( Arvant – Le Puy / Aurillac – Figeac , etc. ) Pourquoi faire rouler des bus en même temps que des trains ?
    De plus, les trains qui circulent n’assurent pas les correspondances alors que les bus oui. Il suffit de regarder les horaires pour comprendre.

    Après avoir réfléchi, enquêté, je me demande si il n’y a pas une omerta sur les relation financières entre les régions, la SNCF et les sociétés d’autocaristes. Des sortes de contrats tacites qui garantissent un revenu régulier pour ces grands patrons.

    En tout cas, le premier élu qui viendrait me parler  » d’écologie  » il prend une baffe.

  4. Excellent documentaire, constat à peine exagéré… sous l’angle de vue d’un suisse (notamment pour le cadencement des horaires).
    Un reportage un peu à charge à mon avis; pauvre SNCF, tes cheminots ne le méritent pas !

    1. Bonjour

      Ce film n’eqt pas très dur mais très lucide, ouvrez les yeux
      Oui, la france n’est pas la Suisse , pays dans lequel on circule bien en train, car la confédération Helvétique assure un service PUBLIC avant de viser à faire du profit
      Nos gouvernants sont complices de la dégradation du transport ferroviaire, service public confié au privé, au grand dam des voyageurs, certains départements et même régions : Ardèche, Vaucluse et la Bretagne intérieure, et j’en passe, sont sinistrés sur ce plan, ce qui oblige à utiliser une voiture alors que beaucoup de villes s’affairent à plus ou moins long terme, à interdire les voitures en ville.
      Je suis scandalisé par l’état de nos chemins de fer, tant par la qualité du service que la complexité des horaires sans correspondance entre les trains, vive le TGV qui vous largue en pleine campagne comme à Nîmes et autres lieux
      Il y a tant à dire sur l’hypocrisie appliquée à notre circulation ferroviaire

  5. Bonjour ! le reportage est très bien fait, c’est vraiment passionnant, Patrick mais de l’humour dans une situation de terrain complètement catastrophique !! Ce reportage devrait être diffusait à grande échelle sur tout les supports médias pour se rendre compte du désastre qu’est devenu la SNCF ( Société National des Chemin de Fer en Faillite ). Bon courage aux cheminots et usagers eu … clients !

  6. Tout bonnement EXCELLENT et plein d’humour (faut être un mutant pour déchiffrer un horaire sans se planter ! La voie « verte » entièrement goudronnée est un moment de grande hilarité.)
    Enfin quand je dis excellent, c’est pas pour l’état du train ou du service c’est sûr…

    Il y a quelques plans aériens (drones) vraiment sympas (St Claude, Garabit) mais malheureusement trop courts. C’est dommage car certaines de ces « petites » lignes sont de véritables défis d’ingénierie à couper le souffle, le voyage fait aussi partie des vacances.

    Un point peu abordé concerne l’absurdité et l’énormité des tarifs (ahh les vertus du yeld management !) :
    j’ai beaucoup pris le train quand j’étais étudiant célibataire (ou appelé sous les drapeaux), aujourd’hui – en famille – c’est très dissuasif. Ma bagnole (usure, assurance, péages, carburant, etc.) ne me coûtera jamais autant. Et je mets ce que je veux dans mon coffre, sans avoir la crainte de m’en faire chiper en route.
    Alors bien-sûr en voiture, il y a la fatigue de la conduite et les risques qui vont avec…

    Le train ne reprendra le dessus que lorsque qu’il sera bien moins cher et aussi rapide/pratique que la bagnole – ce n’est clairement pas pour demain chez nous – ou alors parce qu’il proposera qqch de nouveau et qui reste encore à inventer.

    L’atout fondamental du train, c’est le déplacement à effort minimum de charges lourdes (voire très lourdes.) Au départ, c’est conçu pour ça ! Franck nous a fait un chouette doc sur le transport des coils entre Arvant et St Chély-d’Apcher, il devrait y ajouter quelques photos de l’état de la route empruntée par les camions pendant les 11 mois de fermeture de la ligne, ce serait édifiant j’imagine…

    Un TGV, c’est 400 tonnes pour transporter 600+ personnes (la version bétaillère duplex, les autres c’est encore pire) soit à la louche 12% de charge utile pour 88% de ferraille morte autour, c’est vraiment pas glorieux du point de vue énergétique !
    Quant au coûts d’infrastructure/exploitation, on va rester poli…

    1. Salut Pascal,

      Je fais le même constat… étudiant ou avant militaire, je voyageais uniquement en train (genre corail) autant par souci économiqueque par plaisir de voir du pays.

      Je roule désormais avec le gros BM 6cylindres qui est.. l’arme du pauvre comparativement aux tarifs du train.

      Par exemple ce weekend je vais voir un bon copain à Niort. 200€ en train, 180€ en voiture (fatigue mais souplesse horaire). Embarquant des covoitureurs ca tombe à 60€ le weekend malgré la coût actuel des carburants.

      À 4 dans mon obusier de 1600kg à vide, ca reste competitif énergetiquement parlant (on sera à une conso de 1,4l/100km par personne)…

      Moralité… le train a sa vertu, mais pas en y appliquant les recettes du monde aérien.

      Et pour Bessèges, je partage l’avis que de nombreuses lignes « secondaires » recèlent des merveilles. Comme le disait Bernard Chabbert dans son reportage sur le Concorde « vivre une semaine à ses côtés vous plonge dans la même attitude mentale qu’en explorant les pyramides ou la cathédrale de Chartres. Ici, on est en présence d’une expression du génie. »

  7. Tout d’abord, merci à Patrick d’avoir gardé le film et de le partager. Pour la partie française, c’est bien ça, on le vit tous les jours !

    Pour Bruno, « S.N.C.F. », c’est « Société Nationale des Chemins de fer Français ». Il est vrai qu’aujourd’hui on ne voit plus la dénomination complète.

    A une époque, mais s’il pouvait y avoir un logo, cette dénomination figurait sur certains documents (règlement de sécurité, enveloppes pour le courrier).

  8. Merci pour ce reportage intéressant.
    Je me suis posé une question : la signification de l’acronyme S.N.C.F., c’est Société Nationale des Chemins Ferré ou des Chemins Français (soit autres que Ferré) ?

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